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    On a eu chaud !

    MOYEN
    Écoute Audio 11/2023
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    © Volodymyr Hryshchenko/Unsplash

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    Messieurs Moreau et Dubois accompagnent leurs enfants à l’école pour la rentrée des classes.​

    M. Moreau : Tiens, bonjour M. Dubois ! Vous allez bien ? Je vois que vous êtes im Einsatz​de service, comme moi, pour la Schuljahresbeginn​rentrée des classes de nos filles !​

    M. Dubois : Ah... bonjour M. Moreau ! Ça va bien, merci ! Vous avez raison : ma femme s’occupe de notre grande, qui entre au collège aujourd’hui, alors c’est moi qui accompagne la petite puceetwa: kleiner Spatz​notre petite puce pour sa rentrée en CM2. La dernière année, déjà, à l’école primaire. Le temps passe vite !​

    M. Moreau : das kann man wohl sagen​Je ne vous le fais pas dire. Pour nous, c’est pareil. On vit au rythme de l’école, des devoirs, et des contrôles, les vacances arrivent et, hop, l’année est déjà passée ! Mais bon… Et vos vacances justement ? Elles ont été bonnes ?​

    M. Dubois : Excellentes, merci. Cette année, pour entgehen​échapper à la Hitzewelle​canicule, nous sommes allés dans les Alpes. Les enfants n’ont pas aimé marcher, mais il y avait une piscine et il ne faisait pas 35° à l’ombre (f)Schatten​l’ombre !​

    M. Moreau : Eh bien, vous avez eu raison, parce que chez nous, il a fait très chaud. On a même cru frôler qckurz vor etw. stehen​frôler la catastrophe.​

    M. Dubois : Ah bon !? Mais qu’est-ce que vous damit meinen​voulez dire par là ?​

    M. Moreau : Eh bien, on était en Vendée, dans un camping, pas loin de l’océan. Et, un matin, alors que les schien ein wunderschöner Tag zu werden​a journée s’annonçait magnifique, les sirènes ertönen​ont retenti tout à coup. Ils ont dit qu’un Feuer​incendie hier: ausbrechen​avait démarré dans l’arrière-pays, et on a dû évacuer.​

    M. Dubois : Panique à bord quoi…​

    M. Moreau : Oui. Mais, pour finir, c’était juste une simulation, un exercice à cause de ce qu’il s’est passé l’année dernière, dans les Landes. On a pu retourner au camping, et on a finalement juste eu très peur !​

    M. Dubois : J’imagine, oui ! C’est vraiment un problème, ce changement climatique… D’un autre côté, c’est bien de notre faute, et puis, on ne peut pas tous aller dans les Alpes.​

    M. Moreau : C’est sûr ! Bon, ça klingeln​sonne. hätten Sie Lust?​Ça vous dirait de venir prendre l’apéro chez nous irgendwann malun de ces jours ?​

     

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