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Les liaisons sont très importantes en français. Elles permettent de lierverbindenlier les mots en les prononçant, et obéir àfolgenobéissent à des la loihier: die Regellois très précises. Comme nous l’avons vu dans le premier le voletder Teilvolet de cette rubrique, en juin, on fait la liaison lorsqu’on prononce la la consonne finaleder Endkonsonantconsonne finale normalement muet,testummmuette d’un mot, quand le mot suivant commence par une la voyelleder Vokalvoyelle ou un h muet.
Comme dans : des arbres, des amis, des enfants, des hommes, des l'horloge (f)die (Wand)Uhrhorloges, etc.
Voici maintenant les cas où il ne faut pas faire de liaison…
• devant un h aspiré :
« Des le hérosder Heldhéros hautain,ehochmütig, eingebildethautains. »
« Cette montagne est très haute. »
• entre le nom et le verbe :
« Mes parents ont beaucoup d’argent. »
• entre un nom et un adjectif, placé après ce nom,
au singulier :
« Du chocolat amer,èrebitteramer. »
« Un cours intéressant. »
• après un pronom sujet inversé :
« Les Lenoir sont-ils arrivés ? »
• On ne fait pas non plus la liaison après la conjonction
et :
« Une fille et un fils. »
• après les adverbes se terminant en -ment :
« Ce jour est vraiment important pour moi. »
• après selonlaut, nachselon et sinonsonst, andernfallssinon :
« Selon une étude, les Français sont joyeux. »
« Sois gentil, sinon elle va pleurer. »
• après les adverbes interrogatifs quand, comment,
combien :
« Quand arrives-tu ? »
« Comment êtes-vous venu ? »
« Combien en voulez-vous ? »
Attention, dans les deux la tournuredie Wendungtournures suivantes, exceptionnellementausnahmsweiseexceptionnellement, on fait la liaison :
« Quand est-ce que tu viens ? »
« Comment allez-vous ? »
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