Nos 20 coups de cœur à Besançon

1. Citadelle vauban

Classée au patrimoine mondial de l’Unesco, elle domine toute la ville du haut de son l’éperon (m) rocheuxFelssporn, -ausläuferéperon rocheux. Vauban mit 20 ans à fortifierbefestigenfortifier cet ensemble de 11 hectares, considéré comme son le chef-d’oeuvreMeisterwerkchef-d’oeuvre. « Vos murailles de Besançon, ce n’est pas avec de la pierre que vous les édifiez, mais avec de l’or ! », lancer qc à qnjm etw. an den Kopf werfenlui aurait lancé Louis XIV devantangesichtsdevant le coût du le chantierBaustellechantier.

Derrière les le rempartBefestigungsmauerremparts, la citadelle a servi de casernement, de lieu de la formationAusbildungformation pour les futurs officiers (« les cadets »), de prison, puis de le pénitencierStrafvollzugsanstaltpénitencier militaire. Ce sont aujourd’hui les touristes qui laprendre d’assaut ,stürmen prennent d’assaut. Ils y trouvent le Musée comtois,eaus der Franche-Comtécomtois (arts et traditions populaires), le musée de la Résistance (qui sera rénové en 2023), et même un zoo abriterbeherbergenabritant notamment un tigre de Sibérie !

L’histoire du lieu est présentée sous forme de spectacle multimédia dans la chapelle Saint-Étienne. Quant aux anciens le chemin de rondeWehrgangchemins de ronde, ils offrent des panoramas superbes (et vertigineux,seschwindelerregendvertigineux) sur les toits de la vieille ville, 100 mètres plus bas. Avec un peu de chance, on apercevra même des le chamoisGamschamois, occupés à broutergrasen; hier: fressenbrouter l’herbe sur les la penteHangpentes du le promontoireFelsvorsprungpromontoire.

2. La Porte Noire

En 58 avant J.-C., Jules César s’emparer de qcetw. eroberns’empare de Vesontio (l’ancien nom de la ville), qui appartenait alors à la tribuStammla tribu gauloise des Séquanes. C’est le début d’une longue période romaine, lors de laquelle la ville s’agrandit et s’embellirschöner werdens’embellit. Temple, théâtre, amphithéâtre, thermes, aqueduc... Le le vestigeReliktvestige le mieux conservé reste la Porte Noire (170 après J.-C.), au pied de la cathédrale Saint-Jean. Cet arc de triomphe érigererrichtena été érigé à la gloire de l’empereur Marc Aurèle, qui materin den Griff bekommenavait maté une rébellion des Séquanes. Tout le pouvoir de Rome s’affichersich zeigens’affiche sur la pierre. Les le bas-reliefFlachreliefbas-reliefs pulluler dewimmeln vonpullulent de détails mythologiques. On y voit Jupiter, Castor et Pollux, Mars et Vénus, Bacchus et ses Bacchantes, Ajax et les centaures, des scènes de L’Odyssée... Il y a de la lecture ! Au Moyen Âge, l’arc de triomphe rebaptiserumbenennensera rebaptisé porta nigra, mais aujourd’hui, la pierre ravalé,egereinigtravalée est d’un beau blanc tout propre.

3. Le Musée des Beaux-Arts

Surprise ! Sous sa façade classique, ce musée cache un coeur de le béton brutSichtbetonbéton brut (on parle d’l’architecture (f) brutalisteBrutalismusarchitecture brutaliste) dont partent des rampes qui constituent les galeries. L’effet est erstaunlichsaisissant,esaisissant. C’est là, dans ce décor moderne épuré,eschlichtépuré, que l’on découvre les le trésorSchatztrésors du musée. L’Hallali du cerf et Le Retour de foire permettent de se familiariser avec Gustave Courbet, le maître d’Ornans (à 25 km de là). On y voit aussi des petits Goya, macabres à souhait, deux Bonnard, sans oublier Dufy, Matisse, Signac, Vallotton et Picasso. Titien, le Tintoret ou encore Cranach l’Ancien sont aussi présents.

Dans la partie archéologique, passer à côté de qcetw. unbeachtet lassenne passez pas à côté du Taureau d’Avrigney, statue en bronze du Ier siècle représentant Tarvos, dieu celto-romain à trois la corneHorncornes. Arrêtez-vous devant les mosaïques de Méduse et de Neptune, qui provenir destammen ausproviennent de la la demeureWohnhausdemeure d’un riche patricien, comme il y en avait beaucoup à l’époque antique. Enfin, ne manquez pas la grande exposition Le Beau Siècle à Besançon, de novembre 2022 à mars 2023.

4. Le Musée du Temps

À Besançon, on sait mesurer le temps comme nulle part ailleurswie nirgendwo sonstcomme nulle part ailleurs. La la vocation horlogèredie Berufung zur Uhrmachereivocation horlogère de la ville est apparue à la fin du XVIIIe siècle et perdurerfortbestehena perduré jusqu’aux années 1950. Pour s’imprégner deauf sich wirken lassens’imprégner de cette histoire et de cette culture, il faut visiter ce passionnant musée… en prenant son temps. Le cadre vaut la visite à lui tout seul puisqu’on se trouve dans le palais Granvelle, bâti par Nicolas Perrenot de Granvelle, le très fortuné,ewohlhabendfortuné chancelier du Saint-Empire, sous Charles QuintKarl V.Charles Quint. La façade et la cour Renaissance, les la tuileDachziegeltuiles vernissé,eglasiertvernissées et les toits à la flamande en imposerimponierenen imposent ! Le musée retracererzählenretrace l’histoire de la ville de Besançon et présente une superbe collection d’objets de mesure du temps : pendulePendeluhrpendules, la montreArmbanduhrmontres, l’horloge (f) comtoisefrz. Pendeluhrhorloges comtoises, coucous allemands. Les l’amateur (m)Fan, Liebhaberamateurs apprécieront la Leroy 01eine Taschenuhrla Leroy 01, présentée comme la « montre la plus compliquée du monde », et considérée comme le chef-d’oeuvre horloger du musée : 975 pièces, 24 complications. Trois cartes célesteHimmelscélestes interchangeableaustauschbarinterchangeables montrent l’état du ciel à Lisbonne, à Paris ou à Rio de Janeiro en portant plus de 600 étoiles sur moins de 3 cm2 !

5. La balade rives et remparts

Le Doubs enlacerumarmenenlace si tendrement la ville qu’on a envie de suivre cette l’étreinte (f)Umarmungétreinte longer qcetw. folgenen longeant les quais. Du pont Battant à la place de la Révolution, la promenade rives et remparts fait le tour de la la boucleSchleifeboucle du Doubs en 4,6 km (compter 2 h 30). L’itinéraire balisermarkierenest balisé au sol par des flèches de bronze sur lesquelles est dessinée la boucle du Doubs. couvent des le cordelierFranziskanercordeliers sur le quai Vauban, l’ancienne cité universitaire, les la tour bastionnéeBastionärsturmtours bastionnées par Vauban, et la promenade Chamars. Cet ancien champ de Mars romain servit à brûler les la sorcièreHexesorcières en place publique au Moyen Âge ! La colline de Chaudanne, enveloppé,eumhülltenveloppée d’une forêt et überragtsurmonté,esurmontée de son fort, apparaît. Les le BisontinBewohner von BesançonBisontins adorent se promener à pied ou à vélo sur les rives de la rivière. Il faut dire qu’au pied de la citadelle Vauban et des la falaiseFelsenfalaises environnant,eumliegendenvironnantes, le le décorKulissedécor est grandiose. La balade se poursuit le long du canal du Rhône au Rhin, qui s’engouffrerfließen ins’engouffre dans un tunnel. On passe littéralement sous la citadelle pour ressortir face à la colline de Bregille, autrefois plantée de la vigneWeinrebevignes. La cité des Arts et la statue du Minotaure en contrebas deunterhalben contrebas du pont Robert-Schwint nous conduisent jusqu’à la place de la Révolution. L’office de tourisme publie une application gratuite : Visiter Besançon.

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