En hiver, Paris change de visage. La capitale française etw an den Tag legendéploie alors des trésors inattendus qui vous feront oublier sa Eintönigkeitgrisaille légendaire. Paris en hiver, c’est l’occasion de prendre un bain de lumière märchenhaftféérique en flânant dans les passages couverts, c’est la Genussvolupté de se laisser hier: einlullenengourdir de vapeur chaude dans un hammam au décor exotique, c’est le plaisir anheimelnddouillet d’un bain de culture dans l’une de ses salles de cinéma mythiques. Alors, quand faites-vous vos valises ?
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Les temps des passages
Veronika Becker est guide à Paris. Nous avons rendez-vous au Palais-Royal, près du Louvre. La galerie Vivienne, par laquelle nous commençons, est toute proche. On y entre par le numéro 4 de la rue des Petits Champs, Paris 2e. Suivez-moi !
Avec son Vorhangrideau lumineux, l’entrée de la galerie Vivienne est somptueuse. Ses décors, inspirés de l’Antiquité, en font l’une des galeries les plus élégantes du XIXe siècle. De belles mosaïques ornent le Bodensol. « Le choix de les hier: etw verlegenposer aurait été inspiré par la découverte au XIXe siècle des ruines de Pompéi », fait remarquer Veronika, « et quand on aufblickenlève le nez, on retrouve la même inspiration antique. » Sur des sculptures murales, on voit en effet aussi bien des Göttin, Gottdéesses, des couronnes de Lorbeerlauriers que des cornes d’abondance…
De nombreux passages parisiens ont été détruits dans les années 1970. La galerie Vivienne échapper à qchier: davonkommeny a échappé et connaît aujourd’hui un renouveau. Les boutiques Kenzo, en 1970, puis Jean-Paul Gaultier en 1986, redonner un souffle à qcetw wieder Leben einhauchenlui ont redonné un souffle. En flânant, on découvre quantité de vitrines de mode qui perpétuent cette orientation.
©Chakri Belaïd
À « Vivienne », un commerce a traversé les âges : la librairie Jousseaume, anciennement Petit Siroux, fondée en 1826 à l’inauguration de la galerie. wenn man jdm glaubtÀ en croire le Geschäftsführer/-ingérant M. Jousseaume, « tous les grands sont passés dans sa librairie : Hugo, Stendhal, Balzac. » Sa famille règne sur ce commerce depuis 1901. Il en est le dernier héritier. « J’ai repris la librairie en 1987, mais après moi, ce sera fini ! » annonce-t-il sèchement. « Aujourd’hui, on ne lit plus de livres anciens. Les gens les regardent comme des pièces de musée, un Reliktvestige du passé. Je survis grâce aux touristes. Eux, au moins, m’achètent des cartes postales. » Pourtant, sa boutique immer voll seinne désemplit pas de clients. Au même moment, une Schüler/-incollégienne entre et lui demande un livre de Zola ou de Balzac… « J’aime les vieux livres, je trouve ça beau », explique la jeune fille. Le vendeur lui propose alors un Stendhal, avant d’admettre un sourire aux lèvres : « Voyez, cette jeune fille me fait mentir ! »
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