1. L’l’abbaye (f)die Abteiabbaye la plus hanterheimsuchen, spukenhantée de France Mortemer (Eure)
Elle s’appelait Mathilde. Son père, le roi Henri Ier d’Angleterre, l’avait enfermée dans cette abbaye normande pour l’assagir qnjn zähmenassagir, car elle était trop indépendante. Pour se vengersich rächense venger, son fantôme hante les lieux depuis 900 ans. Si on l’aperçoit la nuit, on risque de mourir dans l’année qui suit ! Y rôderumgehenrôderaient aussi les fantômes de quatre le moineder Mönchmoines assassiné,eermordetassassinés pendant la Révolution française. Des soldats anglais qui stationnaient là durant la Première Guerre mondiale les auraient aperçus. Et, en 1884, un le braconnierder Wildererbraconnier du coinaus der Regiondu coin assure même avoir vu le le loup-garouder Werwofloup-garou. Mortemer ne pas avoir voléhier: nicht umsonst habenn’a donc pas volé son titre d’« abbaye la plus hantée de France ». Chaque été, une association de le bénévoleder Freiwilligebénévoles organise une « nuit des fantômes ». « Vous découvrirez des aspects de leur nouvelle existence que vous ne soupçonnez pas », promet l’association.
2. Le le trésorder Schatztrésor caché Rennes-le-Château (Aude)
D’où provenait l’argent dépensé par l’abbé François Bérenger Saunière ? À la fin du XIXe siècle, il fit rénover l’église de Rennes-le-Château, où il venait d’être nommé. Puis il se fit construire une belle villa, un jardin, une la serredas Gewächshausserre et une petite tour. Or, l’abbé Saunière ne venait pas d’une famille riche. Comment alors pouvait-il disposer deverfügen überdisposer d’une telle fortune ? Les villageois pensèrent qu’il avait mis la main sur un trésor. En réalité, l’homme d’Église faisait du faire du trafic de messesdie Messstipendien veruntreuentrafic de messes. L’explication ne décourage pas pour autant les nombreux chasseurs de trésors qui espèrent aujourd’hui encore trouver le fameux le péculehier: der Schatzpécule. L’auteur Dan Brown se serait inspiré de cette histoire dans son roman à succès Da Vinci Code.
3. Le village fantôme Brovès (Var)
Ici, le temps s’est arrêté en 1974, date à laquelle les derniers habitants ont dû partir. Ce village avait le malheur d’être situé trop près du camp militaire de Canjuers – le plus grand terrain d’l’entraînement (m)das Trainingentraînement militaire d’Europe occidentale. En 1970, un décret entraîner qczu etw. führena entraîné la la suppressiondie Auflösungsuppression de la commune et le le relogementdie Umsiedlungrelogement progressif des 71 habitants. Depuis, les maisons et l’église tombent en ruine. Brovès qc est interdit,e au publicder Zutritt zu etw. ist verbotenest interdit au public. Mais chaque année, lors du lundi de la PentecôtePfingstenPentecôte, les anciens villageois sont autorisés par l’armée à venir y pique-niquer. Un le pèlerinagedie Wallfahrtpèlerinage qui ranimerwieder aufleben lassenranime des souvenirs souvent douloureux. La dernière génération ayant vécu à Brovès vient de créer une association pour préserverbewahrenpréserver la mémoire de ce village fantôme.
4. La la curiositédas KuriosumCuriosité de Lauriole Siran (Hérault)
C’est une la descentedas Gefälledescente qui monte. Ou une montée qui descend. Bref, une route dont on ne sait pas si elle monte ou si elle descend. Si vous posez une balle de tennis au sol, cette dernière va remonter la pente au lieu de la descendre. Impossible ? Il s’agit en réalité d’une illusion d’optique. La route est en le lacetdie Serpentinelacets et, logiquement, on s’attend à ce que le lacet supérieur soit une montée. Or, c’est une descente. Notre esprit pense que la balle de tennis défier la gravitédie Schwerkraft überwindendéfie la gravité, alors qu’elle roule simplement dans le sens de la la penteder Abhangpente. Les habitants du coin ont baptisé cette route « la Curiosité de Lauriole ». Il existe une illusion d’optique similaire près du village des Noës (Loire), appelée « la Route magique ».
5. Le le phareder Leuchtturmphare maudit,everfluchtmaudit Tévennec (Finistère)
En 1891, le vice-président de la Société archéologique du Finistère relaterberichten vonrelatait les étranges phénomènes observés au phare de Tévennec, au large des côtesvor der Küste vonau large des côtes bretonnes : « La nuit, c’était des bruits de gens qui se querellersich streitense querellaient, se battaient. Des le vieillardder Greisvieillards parcouraient la la rocheder Felsenroche et le bâtiment. Des croix se dressersich erhebense dressaient et s’abattrezu Boden fallens’abattaient. Des gens se suspendresich aufhängens’y suspendaient. Au jour, tout était en ordre. Pour faire cesserunterbindenfaire cesser le bruit et les l’apparition (f)die Erscheinungapparitions, on fut obligé d’érigererrichtenériger, sur le roc, une croix en pierre. » Malgré cette croix de pierre, les le gardiender Wärtergardiens restaient persuadés que le phare était maudit. On a finalement découvert l’existence d’une grotte sous-marine sous l’île. en fonction deabhängig vonEn fonction de la la maréedie Gezeitenmarée, la mer produit des sons bizarres dans cette grotte. Récemment, Marc Pointud, président de la Société nationale pour la protection des phares et la balisedie Bojebalises, a passé deux mois dans le phare. Il a ainsi pu confirmer les bruits mystérieux à l’intérieur de la maison où vivaient les gardiens.
6. Le château au trésor des Templiers Gisors (Eure)
Encore une histoire de trésor. Cette la forteressehier: die Burgforteresse abriterait l’or des Templiers. La légende a traversé six siècles avant de connaître un le rebondissementdie Wenderebondissement en 1946. Le gardien et jardinier Roger Lhomoy, seul l’occupant (m)der Bewohneroccupant du château, entreprenait des la fouilledie Grabungfouilles depuis plusieurs années lorsqu’il découvrit une salle secrète. À l’intérieur de cette chapelle, posés sur le sol, 19 sarcophages de pierre de 2 mètres de long et de 60 centimètres de large. Et dans la la nefdas Kirchenschiffnef, 30 le coffredie Truhecoffres en le métal précieuxdas Edelmetallmétal précieux. Personne ne le crut. Les la galerieder Ganggaleries creusées par le jardinier reboucherwieder verschließenfurent rebouchées. On organisa de nouvelles la tracedie Spurfouilles dans les années 1960, mais aucune trace de la fameuse salle, ni des sarcophages, ni des coffres…
7. Le château de l’Herm Rouffignac-Saint-Cernin-de-Reilhac (Dordogne)
C’est un château en ruine comme on en trouve beaucoup dans le Périgord. Celui-ci faire l’objet de qcGegenstand von etw. seinfait cependant l’objet d’une légende noire. À la fin du XVIe siècle, la famille de Calvimont, originaire deausoriginaire de Bordeaux, faire l’acquisition de qcetw. kaufen, erwerbenfait l’acquisition de cet ancien le château fortdie Festungchâteau fort dans le Périgord. De grands travaux de restauration sont entrepris. ornun aberOr, on le sait, construire sur les ruines d’un ancien château porter malheurUnglück bringenporte malheur. La famille Calvimont aurait dû écouter ces vieilles la superstitionder Aberglaubesuperstitions... En 1605, Marguerite de Calvimont est assassinée sur ordre de son mari François d’Aubusson. Ce dernier épouse sa maîtresse, Marie d’Hautefort en secondes nocesin zweiter Eheen secondes noces. C’est le début d’une longue la bataille de successionder Kampf um die Erbfolgebataille de succession, d’une série de meurtres et de drames. Le château a réclamé son prix du sang !
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