Plus de 4 000 restaurants, une vingtaine de chefs étoilés au Guide Michelin et des spécialités qui jm den Mund wässrig machenfont saliver les amateurs de gutes Essenbonne chère : la rosette (saucisson sec), la luftiger, länglicher Kloßquenelle, la Zuckermandeltartetarte aux pralines… « Lyon est la capitale mondiale de la gastronomie », disait déjà le gastronome Curnonsky en 1935.
Près de 90 ans plus tard, peu de villes peuvent Anspruch erheben aufprétendre à ce titre. La cuisine coule dans les veines de la troisième ville de France depuis longtemps. La tradition des « mères lyonnaises » remonte au XVIIIe siècle. La mère Brigousse, la mère Guy, la mère Fillioux, la mère Léa, et la célèbre mère Brazier, dont le restaurant existe encore… avec trois étoiles au Guide Michelin. C’est grâce à ces femmes que la gastronomie est entrée dans le cœur des Lyonnais… et dans leur ventre ! Ces cuisinières aus einfachen Verhältnissend’origine modeste travaillaient pour les familles bourgeoises de Lyon, avant de sich selbstständig machens’installer à leur compte. Pendant l’entre-deux-guerres, beaucoup d’entre elles entlassensont renvoyées : la crise économique de 1929 a ruiné les grandes familles. Elles décident alors d’ouvrir leur propre restaurant. Elles y servent une cuisine simple mais raffinée, à partir de produits locaux. Par habitude de ne rien jeter, elles utilisent beaucoup les « minderwertigbas morceaux », comme les Kuttelntripes. Leurs plats traditionnels se retrouvent toujours sur les tables des restaurants lyonnais : les quenelles, l’Wurst aus Schweinefleisch und -innereienandouillette tirée à la ficelle, le saucisson chaud. Certains ont des noms mystérieux : le tablier de sapeur (Kuttelfleckfraise de veau panée), la Hirncervelle de Seidenwebercanut (fromage blanc aux herbes), le sabodet (saucisson à base de tête de porc)…
C’est dans les Gaststätte (in Lyon)bouchons qu’on retrouve l’ambiance et la cuisine de ces mères lyonnaises. Ces restaurants typiques servent des plats riches, parfois schwer verdaulichlourds à digérer, dans une ambiance conviviale et gemütlichbon enfant. Chez Les Lyonnais, au pied de la colline de Fourvière, Anne Toiron et sa fille Laura accueillent avec le sourire derrière le Thekecomptoir en zinc. Les serveurs sich schlängelnse faufilent entre les tables pour apporter quenelles, tête de veau et panierter Rinderpansentablier de sapeur. Un couple vient s’installer à côté de nous : on engage la conversation, on sympathise, on partage le « pot lyonnais » (la carafe de vin rouge). « Partager sa table avec des inconnus, c’est ça, l’esprit des bouchons ! Ici, on ohne Schnickschnackne fait pas de manières. Toutes les classes sociales et toutes les générations se mélangent. Les gens se rencontrent, et parfois ils reviennent ensemble ! J’aime cette convivialité », dit la patronne Anne Toiron. Partout sur les murs, des portraits en noir et blanc sont accrochés : des stars de cinéma ? Non, juste les photos de clients fidèles à la maison ! Au royaume de la etwa: unkomplizierter Umgang miteinanderbonne franquette, le client est un Freund, Kumpelcopain traité comme un roi.
21 restaurants ont le label « Les bouchons lyonnais », qui représente une garantie du respect des produits, des recettes, mais aussi de l’ambiance et de l’accueil. Certains bouchons servent encore le mâchon. Ce repas consommé vers 9 heures du matin vient des canuts, ces tisserands de la soie (au XIXe siècle) qui avaient l’habitude de faire une pause pendant leur journée de travail. Aujourd’hui, le mâchon est le rendez-vous des bons vivants : un plat consistant, un fromage (jamais de dessert !), le tout arrosé,e debegossen mitarrosé d’un pot de beaujolais.avalerverschlingen Avaler un Markknochenos à moelle, des Niererognons ou des tripes si tôt le matin est une expérience très… lyonnaise !
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