Les repas du dimanche en famille​

Patrick : Tu te souviens des repas de famille chez mamie Francine ?​

Sophie : Oui évidemment ! J’adorais le dimanche quand j’étais petite. C’était toujours animé quand on allait chez elle. Un joyeux bazar !​

Patrick : Oui, avec les cousins, je me souviens qu’on mangeait schnell​en vitesse et qu’on sich davonmachen​filait dans la salle de jeux.​

Sophie : Parfois on revenait quand même à table pour le plat principal. Et on était toujours au rendez-vous pour le dessert !​

Patrick : Je me rappelle le jour où tu as annoncé à mamie que tu étais végétarienne.​

Sophie : Ah oui, je m’en souviens très bien. Je devais avoir ungefähr​dans les 15 ans.​

Patrick : Oui ! La tête qu’elle a fait quand tu lui as dit que tu ne mangeais plus de viande ! Elle t’a redemandé trois fois si tu voulais du Brathähnchen​poulet rôti.​

Sophie : C’est vrai ! La pauvre, elle a mis du temps à l’accepter. Mais peu à peu, elle a changé ses recettes et a arrêté de me proposer de la viande. ​

Patrick : Elle voulait que tout le monde se sente à l’aise.​

Sophie : Dans la famille de mon père, l’atmosphère était différente. Il était fils unique, et nous étions les seuls petits-enfants. ​

Patrick : Bonjour l’ambiance !​

Sophie : Oui. s’ennuyersich langweilen​On s’ennuyait ziemlich​pas mal. Et en plus, il fallait sich gut benehmen​bien se tenir et rester assis sagement à table avec les adultes.​

Patrick : Chez mamie Francine, les adultes étaient contents d’avoir la paix et de pouvoir discuter tranquillement pendant qu’ils déjeunaient. Et quand on partait le soir, mamie nous donnait toujours des restes à rapporter à la maison.​

Sophie : À cette époque, je passais beaucoup plus de temps en famille. Maintenant, on habite loin lvoneinander​es uns des autres. Les occasions de se retrouver se font plus rares. Ich vermisse es​Ça me manque.​

Patrick : À moi aussi. Plus je vieillis et plus je suis nostalgique de cette période.​